Je suis « tombée » dans la céramique un peu par hasard, par l’entremise d’une grande amie qui en avait fait sa passion depuis de longues années.
BRIGITTE RICOSSÉ
Je suis « tombée » dans la céramique un peu par hasard, par l’entremise d’une grande amie qui en avait fait sa passion depuis de longues années.
Et ayant subi un choc affectif émotionnel, je me suis plongée dans cet univers infini, comme tous les arts.
Quand mes mains commencent à pétrir l’argile salvateur, mes pensées s’évadent. L’idée de la terre nourrissant à la fois le corps et l’esprit me plaît bien. La musique m’accompagne toujours dans le processus de fabrication et m’oriente dans le choix de formes, de couleurs qui sont infinies. Mes pièces céramiques sont uniques, inventées, aimées, pièces vivantes qui sont le reflet de ce qui nous entoure et le miroir de l’imaginaire que l’on porte tous en soi.
J’ai intégré dans un premier temps, l’Ecole d’Arts Plastiques de Menton pour apprendre la technique indispensable à une ouverture dans ce domaine. Car pour acquérir la liberté, il faut au départ de la rigueur.
Puis j’ai appris à tourner la terre auprès de Stéphane Montalto, potier et céramiste reconnu, distingué en 2011 comme Meilleur ouvrier de France . J’ai eu la très grande chance de profiter de son enseignement car son atelier est situé dans ma commune à Roquebrune Cap Martin (06).
Après des pièces utilitaires, je me suis orientée vers la sculpture qui ouvre à une plus grande expression personnelle. Et bien entendu, la technique du raku me tendait les bras avec ses joies, ses déceptions et l’inattendu qui parfois ravit le cœur.
J’ai découvert les terres sigillées et toutes les teintes innombrables que l’on obtient par décantation de terres ramassées dans la nature. Elles sont pour moi, un enchantement.
Les pièces que vous découvrirez dans les différentes galeries sont pour la plupart à la vente.
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